Entre les plateformes d’automatisation que j’ai benchmarkées, Make fait la différence : utilisable de manière très simple, il peut aussi embarquer de l’implémentation de gestion des erreurs et de la sécurité très proches de ce que l’on fait en dév pur.
📈 du point de vue de la SLA, elle dépend directement de chacun des modules embarqués dans les scenario. Pas trop la main là-dessus. Du point de vue de Make lui-même, il y a certainement une énorme différence entre les Free plans et le plan Enterprise.
🚧 du point de vue du PRA, il paraît indispensable d’automatiser l’export des blueprint des scenarios et leur sauvegarde dans un Git repository. Ça permet de pouvoir « remonter » un environnement Make assez rapidement. Pour atteindre des délais très rapides, indispensable d’avoir monté des scenarios de déploiement de scenarios
🧱 du point de vue de l’intégrité des données en cas d’erreur, le plus mauvais use case est l’échec d’un scenario basé sur un webhook très difficile à re-déclencher. Pour éviter ce mauvais plan , il faut systématiquement utiliser le Break Error Handler et activer l’interdiction de Loss de Data. Les scenario en erreurs sont enregistrés dans une file d’attente et peuvent être rejoués après avoir corriger la source de l’erreur. On n’a donc perdu aucune data d’entrée. Le fin de fin est d’avoir un scenario de secours permettant de re-déclencher automatiquement les scenario en erreur, plutôt que de les re-lancer manuellement. Et ne pas oublier un système de notif par mail, Slack,… à l’admin à chaque erreur
🛡️ côté sécurité, j’ai systématiquement un pattern sur chacun de mes scenario basés sur des webhooks qui vérifie :
* si les inputs sont valides sinon retourne un code 401
* si un Bearer Token valide est passé dans la requête, sinon retourne une 404
Voilà pour quelques tips sécu, intégrité à intégrer dans les scenario Make pour vraiment passer à l’échelon supérieur dans vos automatisations.